Site de Richard Chéron

Pas de vue plongeante: un frôlement tendre...(Yve-Alain Bois)

À 14 ans, je n'avais pas encore fait de Physique (j'ai commencé en seconde) néanmoins j'avais l'intuition que ça me plairait.

J'avais même l'ambition, sans trop savoir ce que ça voulait dire, de devenir « professeur de Physique nucléaire ».

Eh bien j'ai presque réalisé ce projet puisque j'ai eu une carrière d'enseignant universitaire en Physique du solide.

Anecdote : j'ai découvert ce terme Physique du solide au tableau d'affichage de la fac des Sciences à laquelle je venais de m'inscrire (octobre 1962). Je me demandais ce qu'on pouvait bien faire avec des cubes, des cônes et des cylindres...
Je ne savais pas que Physique du solide désignait en fait la «Physique de l'état solide », une science nouvelle pour moi mais qui allait devenir mon thème de recherche, et que j'allais enseigner trois ans plus tard la Mécanique du solide (à l'époque Mécanique générale) qui effectivement s'occupe du contact de plans, cubes, cônes, cylindres.

Note :
La physique du solide tente d'expliquer les propriétés des corps solides par l'étude de leur structure microscopique.
Les propriétés sont mécaniques (cohésion, plasticité, dureté), électriques (conductivité), magnétiques, optiques (réflectivité), chimiques (corrosion), etc.

Note technique :
Cette page ne contient aucun script, seulement des styles (CSS) et quatre images (d'après Eric Meyer).

Made on a Mac Visible avec tous les navigateurs Valid CSS!